Bon Vendredi soir mes amis(es)
Je ne passe que rarement faire les coms en raison de mes traitements de radiothérie je n'ai pas tout les jours la pêche... mais je pense à vous et visite régulièrement vos blogs même si je ne laisse pas de messages car vous lire me fais du bien...des liens se sont créer au fil des ans...ma Nanou que j'adore même si je ne te parle pas souvent tu est gravée à jamais dans mon coeur...et tout les autres que je ne nommerai pas parce que j'en aurais long à écrire sur chacuns(es) d'entres vous...
Un petit clin d'oeil à mon cher COUSIN avec qui j'ai eu la chance de discutée via msn quelques fois et avec qui je n'ai pas vu le temps passé qui a sus me remonter le moral sans même le savoir...
Sur ce je vous quitte...j'ai mis un peu de rythme à mon blog ça remonte le moral...alors danser pour moi ce week end...
Gros bisousss
Bon week end

Là, posée, j’attends que cette plume avance
Avance doucement pour aligner les mots
Mots doux pour décrire de l’esprit la mouvance
Mouvance dont l’amour se fabrique les maux

Maux qui reviennent en belle cascade
Cascade mortelle pour un corps en délire
Délire virtuel d’un cœur en marmelade
Marmelade de sens qu’on refuse d’écrire

Écrire pourtant, ne serait-ce qu’être digne
Digne seulement de déclamer mon amour
Amour sincère dont il suffit d’une ligne
Ligne que ma plume n’écrira pas ce jour

Jour que je maudis de me donner ce tracas
Tracas d’une page qui, blanche, reste là...

Au coin de la rue
une vieille femme vend des jacinthes
des jacinthes et des dahlias
les pétales aussi fripés que
la peau de son visage
et l'échine courbée
courbée par les jours
qui se ressemblent
à rien.


Les passants
du coin de la rue
marchent d'un pas pressé
pour s'faire happer par un tramway
et ils courent et ils courent
après leur petite vie
comme un chien après sa queue
et ils veulent acheter l'enfance qu'ils ont sabordée
ou simplement l'enfance qu'ils n'ont pas eu
mais le temps ne se vend pas dans des parcmètres.


Au coin de la rue
fleurissent des jacinthes
des jacinthes et des dahlias
entre deux dalles effritées...

Il est d'un jardin
ou tout est autorisé
aujourd'hui ou demain
sourire, rire , pleurer

La pluie côtoie le soleil
L'orage et le bleu du ciel
Harmonie des différences
Mélange des sens

Il est d'un jardin
Que l'on ne voit pas
Qui vous porte par la main
Doucement , pas à pas

Le jour se lie à la nuit
La lueur à l'ennui
Osmose des émotions
Fusion des sensations

Ou est-il ? Est-il vrai ?
Chut, c'est un secret.

Que nos cheveux soient blonds, ou longs...
Que nos jupes soient courtes, fendues, ou pas,
Nous sommes vos mamans, vos femmes, vos maîtresses,
Du berceau au tombeau, à chaque pas, nous sommes là...

Femme féline, femme câline,
Femme fragile, femme adrénaline,
Femme nocturne, femme funeste,
Femme je suis, femme je reste.

Que nous soyons gonzesses, pin-ups, ou soeurettes,
En jean javellisé, coeur croisé, ou voilette,
D'hautaines amazones, aux seins arrogant
D’aimables communiantes, gantées de blanc.

D’un cil nous bâtissons, pour vous, des empires,
Et d’un sourire d’un seul, nous excisons tous vos soupirs,
A petits coups de langue, nous lapons, toutes vos larmes,
Un roulement de hanches, et vous voilà, sous le charme...

Maîtresses, traîtresses, prêtresses, et ... pécheresses,
Nous vous ouvrons les bras, le cœur, et le reste.
Et quand sonne le glas, quand vous lancez des SOS,
Nous sommes toujours là, pour embrasser votre détresse...

Sans nous, fini la haine, les peines, l’amour, les toujours, les rengaines,
Plus jamais de demain, de refrains, de je t’aime,
Plus de troubles, plus d’émois, plus de dessous, plus de dentelles,
Plus de toi, plus de moi,
Plus de duel...